Réalisation : Nando Cicero
Avec : Antonio Sabàto, Klaus Kinski, Pepe Calvo, Franco Leo, Cristina Galbo
Nationalité : Italie/Espagne
Genre : Western
Durée : 93' (25 fps)
Année de production : 1968
Titre original : Due volte Giuda
Luke Barrett reprend conscience et découvre à ses côtés un homme mort et un fusil avec le mot « Dingus » gravé sur la crosse. Luke ne se souvient pas de ce qui s'est passé, car une balle lui a frôlé la tête, provoquant un traumatisme crânien et une amnésie temporaire. Il ramasse donc quelques objets utiles sur les lieux, prend un cheval et se dirige vers la ville la plus proche. Au saloon, un inconnu vêtu de noir l'accueille par son nom et lui demande pourquoi il est en retard et où se trouve Donovan. Luke décide de jouer le jeu pour en savoir plus sur lui-même.
Bande-annonce italienne
Nous rentrons aujourd'hui dans une nouvelle ère : celle du "j'ai plus beaucoup de temps". Car oui, je dois vous l'avouer, le temps me manque de plus en plus pour vous proposer de belles présentations bien longues et fournies avec vos repacks. Et ça me désole, car j'aimais beaucoup vous parler des films, de la conception des repacks et de tout ce qui va avec. C'était même ma marque de fabrique, car je n'ai jamais aimé vous balancer de simples liens comme ça. Il n'y a rien de plus impersonnel et rien qui ne donne finalement moins envie. En général, face à ça, on télécharge et on met ça de côté pour peut-être ne jamais voir le film. À notre époque, je crois qu'il faut donner un minimum envie de découvrir des choses qui sortent des sentiers battus Alors je ne dis pas qu'à partir de maintenant, je vais arrêter de faire des présentations, mais je pense qu'elles vont devenir un peu plus brèves à l'avenir. En tout cas, je vais pouvoir y consacrer moins de temps. Et je vais vous avouer qu'il n'y a pas que le temps qui me manque, mais aussi un peu la motivation. Je ne sais plus depuis combien temps que je fais ça, mais ça fait plus de 10 ans, peut-être même 15. Je n'ai sûrement pas fait le tour de la question, mais je commence à me sentir un peu usé. En plus, je constate que de plus en plus de films que je traite se mettent à sortir au format physique, ce qui n'est pas une mauvaise chose, surtout quand j'ai l'occasion de travailler moi-même dessus, mais ça me fait comprendre que je fais parfois un double travail inutile. Ceci dit, il reste plein de choses rares et qui ne sont pas prêtes de sortir officiellement pour un tas de raisons, c'est juste que je dois peut-être éviter de m'occuper de films trop connus, importants, attendus, et me concentrer sur des choses plus inattendues. Enfin bref, on verra, ça n'est jamais facile de savoir ce qui va finir par sortir chez nous ou pas, en fait. En tout cas, je tiens à vous dire que vous êtes une communauté formidable, respectueuse, prête à discuter et à argumenter... Bref, tout ce que je ne vois plus ailleurs, où la moindre broutille est prétexte pour s'insulter. Comme quoi, les films violents que je peux vous proposer ne font pas de vous des chacals sans foi ni loi ! Ouf ! Dernière chose : les versions HDLite risquent de disparaître également, à cause du manque de temps. Veuillez m'en excuser, mais ça me donnera aussi moins de boulot et de maintenance. Je m'excuse auprès des petites connexions, mais n'oubliez pas qu'un logiciel comme Jdownloader est bien pratique pour récupérer tous les fichiers.
Après cet aparté, passons à présent au repack du jour. En vérité, ça n'a rien d'un repack, puisque je me suis contenté de vous le sous-titrer. Ce qui est déjà pas mal. En effet, la VF est malheureusement introuvable, il faudra espérer qu'un collectionneur me contacte ou qu'une édition officielle sorte un de ces jours, en admettant qu'on arrive à la retrouver dans un labo. Ou qui sait si une diffusion télé ne pourra pas nous sortir ça de derrière les fayots... euh fagots.
Je n'ai pas non plus utilisé de copie HD sur ce film, car la copie du DVD italien de 2011 que j'utilise ici est infiniment supérieure à la version HD que vous avez peut-être déjà vu circuler sur le net et dont l'étalonnage jaune/vert absolument atroce pourrait faire pâlir de jalousie les restaurateurs de "L'immagine Ritrovata". Sur le DVD, tout est bien plus naturel, c'est autrement plus agréable à regarder et rend bien plus justice à la belle photographie du toujours très talentueux Francisco Marin, assisté sur ce film par l'opérateur Aristide Massaccesi, plus connu sous son pseudonyme de Joe D'Amato. Peut-être qu'un jour on aura droit à une vraie restauration HD, mais en attendant, c'est de loin le mieux qui soit disponible pour ce film à ma connaissance.
Je n'ai pas non plus utilisé de copie HD sur ce film, car la copie du DVD italien de 2011 que j'utilise ici est infiniment supérieure à la version HD que vous avez peut-être déjà vu circuler sur le net et dont l'étalonnage jaune/vert absolument atroce pourrait faire pâlir de jalousie les restaurateurs de "L'immagine Ritrovata". Sur le DVD, tout est bien plus naturel, c'est autrement plus agréable à regarder et rend bien plus justice à la belle photographie du toujours très talentueux Francisco Marin, assisté sur ce film par l'opérateur Aristide Massaccesi, plus connu sous son pseudonyme de Joe D'Amato. Peut-être qu'un jour on aura droit à une vraie restauration HD, mais en attendant, c'est de loin le mieux qui soit disponible pour ce film à ma connaissance.
J'ignore pourquoi, mais vous avez été nombreux à me réclamer cet excellent western aux allures policières ces derniers temps. En vérité, ça faisait plus d'un an que je l'avais sous-titré, mais je l'avais un peu oublié ! J'avais toujours quelque chose d'autre à vous mettre, donc je repoussais à chaque fois, mais le voici enfin, pour votre plus grand plaisir. En tout cas, cet oubli n'a rien à voir avec ses qualités, car il s'agit vraiment d'un très très bon film à mon humble avis. L'introduction est du tonnerre, malgré l'utilisation d'images de qualité médiocre de vautours tirés d'un documentaire, et puisqu'on parle de tonnerre, le mega fusil bazooka fait bien parler foudre aussi !
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Nando |
Deux fois traitre, sur un scénario de Jaime Jesús Balcázar, également réalisateur, est le 3eme et dernier western de Nando Cicero, après les déjà très recommandables Quand les vautours attaquent (1967), que je vous ai proposé il y a un bon moment maintenant, et Professionnels pour un massacre (1967), qu'il serait bon de repacker en HD un de ces quatre aussi. Comme je vous l'avais dit à l'époque, Cicero n'était pas n'importe qui, puisque cet ancien acteur aux rôles plutôt modestes (mais toujours chez des réalisateurs prestigieux) avait également été l'ancien assistant réalisateur de Lucchino Visconti et Francesco Rosi. Il y a pire comme CV. Ce réalisateur prometteur signa donc 3 bons westerns avant de malheureusement abandonner le genre et de se mettre à la comédie bas du front à tendance érotique du style La Prof donne des leçons particulières (1975) ou Le Toubib du régiment (1976). Parmi ses faits d'armes, on peut y trouver une parodie du Dernier Tango à Paris nommée Ultimo Tango a Zagarol (Trad : Dernier Tango à Zagarol, inédit chez nous), avec Franco Franchi du duo Franco et Ciccio, ainsi que l'ex James Bond Girl Martine Beswick. Le film connut un certain succès public, mais aussi, et c'est plus surprenant, critique. Mais tout de même, quel gâchis ! Car Nando Cicero aurait mérité mieux que de finir sur la trop longue liste des (faux) tâcherons italiens. Il se retira de la vie mondaine en 1983 et mourut en 1995 à seulement 64 ans.
Pour ce qui est des deux acteurs principaux, le sicilien Antonio Sabato est là pour jouer les amnésiques de service, un des thèmes les plus récurents et populaire du western européen, ainsi que l'inévitable et très apprécié Klaus Kinski. Comme tout a déjà été dit sur ce fou de Kinski, reparlons plutôt un peu de Sabàto dont je ne vous ai proposé jusqu'alors que deux de ses westerns, Aujourd'hui ma peau... demain la tienne (1968) et Pas de pitié pour les salopards (1968). Le bel Antonio avait commencé sa carrière de la plus belle des manières, en tournant tout d'abord un tout petit rôle pour le grand Vittorio De Sicca dans un des épisodes du film à sketchs Les Sorcières (1967), où jouait également un certain Clint Eastwood, avant d'être choisi parmi 2000 candidats pour le rôle du pilote de Formule 1 italien Nino Barlini, dans la super production américaine Grand Prix (1966) de John Frankenheimer. Et bien que tourné après Les Sorcières, Grand Prix sortira avant sa première prestation. Un début de carrière aussi prestigieux ne pouvait conduire notre bon Sabàto à jouer des premiers rôles dans des productions de sa mère patrie, dans les films les plus à la mode du moment. Aussi, son premier western sera le plutôt réussi Haine pour haine (1967) de Domenico Paollela. Mais son manque de présence et son jeu un peu limité ne permettrons jamais vraiment à Sabàto de concrétiser tous les espoirs placés en lui. Il ne tournera finalement qu'une poignée de westerns, avant de se révéler finalement plus convainquant dans le filon des policiers à l'italienne. Un Sicilien au milieu des mafieux, ça ne pouvait que marcher ! Après une carrière somme toute plutôt correcte, où il fréquentera mine de rien du beau monde comme Lee Van Cleef, Lionel Stander ou John Ireland, Antonio Sabato déménagera aux États-Unis en 1984, pays dans lequel il a résidé jusqu'à ce qu'il soit emporté par ce satané Covid en 2021, à l'âge de 77 ans.
Comme toujours, ce n'est pas l'acteur qui se double lui-même en italien, son accent sicilien devait faire tâche, mais c'est le comédien et ténor Sergio Tedesco qui s'en charge, dont la voix s'avère bien plus neutre et solennelle. Si Tedesco est une voix qu'on a l'habitude d'entendre en Italie, il n'a jamais eu d'acteurs qui lui ont été attitré véritablement. Il a par contre eu l'occasion de doubler Klaus Kinski en 1971 dans le très oubliable Nevada Kid du tristement célèbre Fidani.
Mais en parlant de Kinski, qui le double donc dans ce Deux fois traitres ? Le très réputé comédien de doublage Gianfranco Bellini, au CV interminable. La voix de Bellini a traversé durant des décennies le monde du doublage italien et résonne encore dans toutes les mémoires transalpines pour avoir été la voix de l'I.A. Hal dans 2001 l'odyssée de l'espace, une interprétation qui aurait été très appréciée par Kubrick lui-même. Il doublera Kinski a deux autres occasions, dans les westerns Macho Callagan se déchaine (1971) du tristement célèbre Fidani et dans le bien plus satisfaisant Shangaï Joe (1973) de Mario Caïano.
Comme toujours, ce n'est pas l'acteur qui se double lui-même en italien, son accent sicilien devait faire tâche, mais c'est le comédien et ténor Sergio Tedesco qui s'en charge, dont la voix s'avère bien plus neutre et solennelle. Si Tedesco est une voix qu'on a l'habitude d'entendre en Italie, il n'a jamais eu d'acteurs qui lui ont été attitré véritablement. Il a par contre eu l'occasion de doubler Klaus Kinski en 1971 dans le très oubliable Nevada Kid du tristement célèbre Fidani.
Mais en parlant de Kinski, qui le double donc dans ce Deux fois traitres ? Le très réputé comédien de doublage Gianfranco Bellini, au CV interminable. La voix de Bellini a traversé durant des décennies le monde du doublage italien et résonne encore dans toutes les mémoires transalpines pour avoir été la voix de l'I.A. Hal dans 2001 l'odyssée de l'espace, une interprétation qui aurait été très appréciée par Kubrick lui-même. Il doublera Kinski a deux autres occasions, dans les westerns Macho Callagan se déchaine (1971) du tristement célèbre Fidani et dans le bien plus satisfaisant Shangaï Joe (1973) de Mario Caïano.
Parmi les autres comédiens du film, soulignons la présence unique - dans un flashback - de Claudia Rivelli, la sœur de la bien plus célèbre Ornella Mutti. Quand je dis unique, je pèse mes mots, puisqu'elle ne jouera dans aucun autre film de sa vie ! Incroyablement belle comme Ornella (je vous laisse juger ici), Claudia sera par contre une véritable star du roman-photo (plus de 400 en tant que protagoniste) et de la publicité. Moins glorieux : en 2021, elle fut arrêtée pour une sombre histoire de trafic de drogue. Elle en envoyait à son fils à Londres, dans des bouteilles de shampoing. On peut donc dire que ce n'était pas une sainte et que pas d'auréole, parce qu'elle ne le valait pas bien. Elle ne trouva rien de mieux à dire pour sa défense que son fils s'en servait pour nettoyer sa voiture. La vache, ce devait être autre chose que de l'électrique !
Autre présence féminine notable et plus importante : l'espagnole Cristina Galbo, vue dans Un doigt sur la gâchette (1967), un film que je vous proposerai prochainement ici, et qui s'avère être l'adaptation sauce western spaghetti de Romeo et Juliette. Elle y jouait Juliette, tandis que son beau Roméo n'était nul autre que Peter Lee Lawrence qu'elle épousera réellement dans la foulée. Malheureusement, comme pour le couple maudit de Shakespeare, leur union fut trop brève, l'acteur allemand nous quittant bien jeune en 1974.
Autre présence féminine notable et plus importante : l'espagnole Cristina Galbo, vue dans Un doigt sur la gâchette (1967), un film que je vous proposerai prochainement ici, et qui s'avère être l'adaptation sauce western spaghetti de Romeo et Juliette. Elle y jouait Juliette, tandis que son beau Roméo n'était nul autre que Peter Lee Lawrence qu'elle épousera réellement dans la foulée. Malheureusement, comme pour le couple maudit de Shakespeare, leur union fut trop brève, l'acteur allemand nous quittant bien jeune en 1974.
Cette courte présentation étant désormais terminée, il ne me reste plus qu'à vous souhaite un bon film et une bonne (re)découverte.
merci pour ce film
RépondreSupprimermais pas de sous titres en version lite
Raaaaah ! C'est moi le traitre en fait ! Voilà, j'ai corrigé, y a la bonne version maintenant. Et promis, je ne trahi pas deux fois moi aussi ;)
Supprimermerci d'avoir corrigé
SupprimerUn grand merci.
RépondreSupprimermerci pour ce film de Nando Cicero un spaghetti classique
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour ce film ! Fanche17.
RépondreSupprimersuper se film il manque aussi un film avec klaus kinski Le Goût de la vengeance 1970
RépondreSupprimerbonjour gilles un grand merci pour ce western assez rare ,merci egalement pour avoir parle du film de domenico paolella haine pour haine qui est un de mes dix westerns italiens preferes.encore un classique.
RépondreSupprimermerci Gilles, pas vu ce Klaus.
RépondreSupprimerGrand merci
RépondreSupprimerMerci infiniment !
RépondreSupprimerMerci pour le film ... et sa présentation !
RépondreSupprimerBravo encore, Maître, et merci.
RépondreSupprimerGR LeSioux
Un grand merci pour cette découverte.
RépondreSupprimerMerci beaucoup indiana pour ce western.
RépondreSupprimerJohn49
En privilégiant l'étirement du temps, la mise en scène réussit à rendre le film intrigant jusqu'au bout, lui conférant une ambiance cotonneuse. Merci pour la découverte.
RépondreSupprimerBonjour Gilles, Merci beaucoup pour ce sous titrage! le travail de sous titres et d'ajuster le minutage est assez long, et je peux comprendre pourquoi beaucoup de films ne le sont pas.. Dans tous les cas, garde courage et même si tu devais arrêter un jour , garde aussi cette passion tout au long de la vie, car avoir des passions dans la vie, ça aide...
RépondreSupprimerMerci beaucoup !
RépondreSupprimerUn inédit en ce qui me concerne. Grazie Mille.
RépondreSupprimerBonjour Merci pour cette découverte, pour la présentation impec , et pour le taf
RépondreSupprimerBonjour Gilles !
RépondreSupprimerTa réflexion est très intéressante.
Tu tiens ton site depuis plus de 10 années, c'est terriblement usant. On se demande toujours ce qui va suivre une fois un événement programmé. Tu n'as jamais, par ailleurs, économisé tes efforts, autant pour le repack, que pour tes présentations qui figurent largement parmi les meilleures de notre communauté, et cela coûte de l'énergie, du temps, des efforts...sachant que tu as ta fille !
Donc, le phénomène de ralentissement est totalement légitime, et normal.
Pour ma part, je pense que tu as beaucoup fait pour la reconnaissance du western italien, de Terence Hill & Bud Spencer, sur plein d'autres films, acteurs, figures du genre, avec des interviews parfois vraiment intéressantes, sur les acteurs, ou encore les artistes du doublage... C'est assez immense !
Je ne sais pas quelles furent tes ambitions de départ, mais je pense qu'elles sont vraiment atteintes, voire dépassées !
Pour ma part, je garde un excellent souvenir de notre présentation commune de Coup de maître au Service de sa Majesté. Un souvenir d'une présentation assez longue, que tu avais doublée, puis recomplétée, avec un sens du détail que je salue et qui m'avait énormément plu !
Bref, après tant d'efforts, c'est vraiment légitime de ta part.
Ceci étant salué, merci pour ce présent repack que, oui, je regarderai avec intérêt.
Antonio Sabato est un cas à part.
Il avait joué dans notre période d'or, avec de beaux westerns ou de solides polars mais il n'avait jamais vraiment bénéficié d'une côté de sympathie, ou de popularité, parmi les fans du cinéma de genre. Je ne sais pas pourquoi, mais l'étincelle n'a jamais vraiment eu lieu. Un peu, d'ailleurs, comme Leonard Mann que je place un peu à part dans la hiérarchie de nos acteurs...
Bien à toi,
Tinterora
Hello Tinterora ! Pour commencer, merci pour ton message.
SupprimerEh bien figure-toi qu'à la base, je pensais juste faire et proposer au max les repacks HD des films de Terence Hill et Bud Spencer. Je ne pensais même pas faire les solo, que je ne connaissais pas si bien. Puis je les ai découverts et appréciés et voilà où j'en suis maintenant !
Pour les westerns, je crois que j'en voyais tellement de bons que j'avais envie de les faire découvrir à mon tour, et c'est devenu un peu ma spécialité. Pourtant, je suis loin de les avoir tous vus et de les connaître comme Curd Ridel ou Alain Petit (je salue les deux, au passage) !
Pour Sabato, il est plus populaire pour ses policiers en Italie, mais j'ai l'impression qu'il lui a manqué THE film culte pour s'imposer totalement. En plus, il est vite parti aux USA et a été un peu oublié. L'interview où il a l'air d'un vieux pécheur sur Stracult l'a remis en avant après des années.
Pour Leonard Mann, il est arrivé un peu tard dans le western, puis il était plus américain qu'italien, il lui manquait un petit truc je trouve. A titre perso, ce qui me perturbe, c'est qu'il me fait penser au tennisman Cédric Pioline !
Merci beaucoup indy
RépondreSupprimerLbz
Pas revu depuis des années, merci beaucoup pour les sous-titres et la version light !
RépondreSupprimerSabato manquait de charisme, mais ce qui fait que je ne l'aime pas trop, c'est plutôt les interviews que j'ai vu de lui, où il se comportait souvent comme un pauvre type. Il y en a même une (peut-être dans le Eurocrime! de 2012 ?) où il se vantait en souriant d'avoir un jour dit à une actrice quelque chose comme : "Si tu refuses d'enlever tes vêtements pour cette scène, tu me manques de respect, et tu ne travailleras plus jamais en Italie !"
Martin Dollman
Des propos et une mentalité d'un autre temps, ce qui n'en étaient pas moins très grave. En plus, il était du sud où le machisme était roi.
SupprimerMerci. Quel fantastique blog. Je comprends que tout cela prend du temps mais je vais regretter les versions HDLite car je suis dans un pays (la Centrafrique) où le réseau est assez mauvais. Pourrais-je aussi avoir un conseil pour compresser un gros fichier en HDLite? J'utilise Handbrake mais je ne suis jamais arrivé à un fichier "idéal" genre entre 1,5 et 2,5 G. Quel programme utilisez vous? ou y'a-t-il un post auquel vous pouvez me référer? Merci d'avance,
RépondreSupprimerpbeauverd
Merci beaucoup indiana pour ce film avec des sous-titres plus facile à lire, je possédais une version avec les sous-titres en couleur bleue et très gros ce qui était gênant pour la lecture.
RépondreSupprimerJohn49
Oui, je connais cette version. Et la traduction n'était pas très fidèle non plus de mémoire.
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